Vous est-il arrivé de vous poser ce genre de question ? Si ce n’est pas le cas, alors il n’est jamais trop tard pour y réfléchir.

Tout d’abord, d’où je viens ?

De mes parents, logique. Je suis le fruit de l’union de mon père et de ma mère, deux individus qui s’aiment ou qui se sont aimés, et qui ont été disposés à m’accueillir avec amour par la volonté de Dieu.

Quelles sont mes origines ?

Je pourrais vous parler de généalogie, de ma descendance. Certes, il est important de connaître ses grands-parents, ses cousins, cousines, arrières grands-parents, oncles, tantes, etc… Mais l’origine la plus lointaine est quand même la création de l’homme quand Dieu forma le corps de l’homme à partir de la poussière de la terre, puis insuffla en lui « le souffle de la vie » avec Adam et Eve.

Qu’est ce que me rend différent de tout autre forme de vie et de toute autre personne ?

Les animaux n’ont pas conscience de la mort, alors que moi, en tant qu’être humain j’ai conscience de la vie et de la mort.

Et ce qui me rends différents de toute autre personne sont ma personnalité, mes goûts, mes connaissances, mes émotions, mes traits de caractère, mes valeurs, mes passions et intérêts, mes talents et compétences, mes croyances, mes convictions, mes expériences de vie, etc…

Mais qui suis-je ?

Il y a ce que je perçois de moi, la façon dont je me vois…mais les autres… comment me voient ils ? Alors posé leur la question : « d’après vous, qui suis-je ? ».

Quel est le but de ma vie ?

Avoir plus d’argent, une grande maison, une belle voiture. Oui certes, il me faut un toit pour dormir et un moyen de locomotion pour me déplacer. Mais nous vivons dans une société de consommation, alcool, drogue, regard de l’autre sur son apparence physique en permanence. Nous sommes nés pour nous aimer les uns, les autres. Pour protéger notre prochain. Nous devons servir Dieu. Il nous appelle à être bons, compatissants et indulgents envers les autres.

Qu’est ce qu’il nous arrive quand nous mourons ?

Nous savons tous qu’au moment de la mort nous perdons notre enveloppe corporelle. Mais l’âme, elle ne meurt pas. Notre vie sur la terre est régie par un espace temporel, mais quand nous mourons le temps n’existe plus : c’est la vie éternelle.

Alors le Paradis ou l’Enfer ? Le Bien ou le Mal ?

Le Paradis c’est la Jérusalem Céleste, la contemplation de Dieu, les retrouvailles des Saints et des siens.

Celui qui va en enfer, c’est celui qui s’est obstiné volontairement à ne pas croire en Dieu jusqu’à son dernier souffle de vie. Il s’agit d’un choix conscient et libre de ne pas vouloir reconnaître et aimer Dieu.

Quel doit être mon chemin de vie sur la terre ?

Mes expériences de vie sur la terre doivent me donner l’occasion d’apprendre, de progresser, de me rapprocher de Dieu, et de choisir mon libre arbitre entre être du côté du Bien ou du côté du Mal.